March 16, 2024
Au printemps 2004, j’achevais mes études collégiales en graphisme au Collège Ahuntsic de Montréal et j’achetais ma première machine à tatouer. Une « Max Machine » traditionnelle, construite artisanalement, que je suis allé chercher dans le fin fond de Laval en autobus. C’était une autre époque. Il n’y avait que 4 studios de tatouage à Longueuil, la ville dans laquelle j’ai grandi, et seulement deux artistes féminines. À ce moment, la dernière innovation de l’industrie...